Recherche appliquée en évaluation des risques

Les caractéristiques du RHIZOtest permettent aujourd’hui d’envisager son transfert depuis le monde académique vers celui de l’application dans le domaine de l’évaluation des risques pour l’Homme et les écosystèmes exposés aux sols contaminés.

Le RHIZOtest a été notamment utilisé pour évaluer le risque de phytotoxicité du cuivre en sols à antécédents viticoles en Languedoc-Roussillon.

Le RHIZOtest s’est avéré être un outil efficace pour caractériser la capacité d’une gamme d’espèces végétales cultivées à phytoaccumuler les éléments traces potentiellement toxiques pour l’Homme tel que l’arsenic, le cadmium et le plomb.

La normalisation est une étape indispensable pour que le RHIZOtest devienne une méthode biologique reconnue et utilisée dans les procédures d’évaluation des risques sur les sites contaminés. Une procédure de normalisation ISO (Organisation internationale de normalisation) a ainsi été amorcée depuis 2009.